Premier engagement d’Aurélie et Anne

Voeux-1-Reponse

C’était le 9 septembre. Aurélie et Anne ont prononcé des vœux de pauvreté, chasteté et obéissance et ont rejoint la communauté des sœurs auxiliatrices, qui compte maintenant deux nouveaux membres !

Jour de fête et de joie !

Ce premier engagement par les vœux marque pour moi une nouvelle étape : « Voici, je fais toutes choses nouvelles ». Mais c’est avant tout un chemin de vie qui se poursuit avec mes sœurs.
Je rends grâce pour tous les témoignages d’affection fraternelle reçus.

Aurélie

« L’amour gratuit de Dieu est une Bonne Nouvelle qui éveille en nous le désir d’un don total. En nous mettant à la suite de Jésus Christ, nous apprenons à accueillir cet amour au plus profond de nous-même. Il est une force transformante qui nous ouvre à la communion avec Dieu et avec les autres, et nous libère pour servir. » (Constitutions des Auxiliatrices – n°35)

Une célébration très belle et joyeuse

Ce 9 septembre 2023, je l’attendais depuis longtemps ! « Dieu, tu es mon Dieu, je te cherche dès l’aube, mon âme a soif de toi » (Psaume 62). Pas à pas j’ai grandi dans la connaissance du Christ et mon désir de Le suivre de plus près dans la vie religieuse a mûri. Reconnaissant tout le bien reçu, j’aspire à Le faire connaître à mon tour et à transmettre Sa vie, avec une disponibilité aussi universelle que possible car « il n’y a aucune frontière à l’amour » (Constitutions n°18). Après une année de candidature et deux ans de noviciat, j’ai senti que c’était bien avec les Auxiliatrices que pourrait s’enraciner et se déployer une vie plus abondante où s’incarne chaque jour davantage mon désir d’aimer et de servir le Christ.
J’ai trouvé la célébration très belle et joyeuse. La liturgie des vœux, avec le dialogue avec la provinciale, la formule des vœux et la remise de la croix, est un moment fort, même si je dois dire que la concentration a laissé peu de place à l’émotion ! Par l’accueil des sœurs j’ai réalisé que ce premier engagement n’était pas seulement un pas de plus dans la continuité du chemin mais bel et bien l’entrée dans le corps de l’Institut. Et aujourd’hui je suis heureuse d’être moi-même une sœur dans cette barque commune qui navigue par gros temps ou dans la brise légère sans jamais perdre le cap : le Christ !

Anne