En séjour à Jérusalem, Agnès a vécu un temps fort avec la communauté catholique hébréophone.
Depuis 1914, l’Église célèbre la Journée Mondiale des Migrants et des Réfugiés le dernier dimanche de septembre. Le thème retenu par le pape François pour cette 109e journée était « Libres de choisir d’émigrer ou de rester ». Cette année, en Israël, en raison de la fête juive de Kippour (le Grand Pardon), la journée a eu lieu la veille, le samedi 23 septembre, dans les locaux de la paroisse franciscaine de Saint-Antoine de Padoue, à Jaffa/Tel Aviv.
L’Eucharistie a été présidée par Mgr Adolfo Tito Yllana, lui-même philippin. Lors de son homélie, il a insisté sur le fait que le plus important pour chacun.e est d’appartenir au Seigneur, toujours, et de vivre une vie pleine d’amour, de service et de fête […] quel que soit le pays […].
J’étais en Israël, à ce moment-là, et c’est avec joie que j’ai participé à la célébration suivie de danses et de chants préparés par les aumôneries du Vicariat pour les Migrants et les Demandeurs d’Asile du Patriarcat Latin de Jérusalem. La journée m’a permis d’entrevoir la diversité de cette communauté venant de pays à multiples visages, rites, cultures, et d’échanger fraternellement autour d’un buffet varié à l’image des pays représentés : Philippines, Sri Lanka, Inde, Éthiopie, Érythrée, etc.
