Des auxiliatrices ont eu la chance d’entrer dans la cathédrale Notre-Dame de Paris, dans des cadres divers, et de s’émerveiller de sa nouvelle beauté.
Le 10 décembre, « la vie consacrée » était invitée à une célébration autour de l’Archevêque. Je prends place dans la nef. Émerveillement devant la beauté de cette nef, sobre, lumineuse, s’élançant vers le ciel. Mais derrière cette simplicité, ne jamais oublier le labeur et la perfection des gestes de tous ceux qui ont contribué à nous rendre ainsi Notre-Dame !
Laurence

Dans l’émerveillement de la réouverture de Notre-Dame de Paris, je retiens deux instants qui m’ont particulièrement touchée.
Lorsque Monseigneur Ulrich a réveillé l’orgue. L’archevêque de Paris s’est adressé à l’orgue comme à une personne vivante et celui-ci lui a répondu peu à peu sur des tons inspirés de la demande. C’était très émouvant.
La deuxième circonstance a été la consécration du baptistère lors de la messe qui réunissait plus de deux-cents religieuses et religieux de Paris. Ce nouveau baptistère est situé juste à l’entrée de l’allée centrale de la cathédrale, un très beau symbole qui traduit le fondement de toute vie chrétienne.
Tant de beauté et de créativité en cet événement qui attire des millions de personnes chrétiennes ou non.
Marie-France


Arrivées de Lyon et Bâle, nous prenons place dans la longue queue des personnes désirant aller à la messe : joie inespérée de pouvoir entrer dans la cathédrale resplendissante et de commencer la nouvelle année en communiant avec la foule venue de nombreux pays, recueillie et heureuse, qui participe à l’eucharistie du 1er janvier, fête de la Mère de Dieu, « notre Dame » !
Barbara et Geneviève
Pouvoir démarrer la nouvelle année par une messe dans l’église rayonnante de Notre-Dame a été un grand cadeau inattendu pour moi. Geneviève a eu la bonne idée d’oser nous mettre dans la queue. Alors, nous avons été largement récompensées.
Barbara


C’est avec une certaine impatience que j’ai franchi les grandes portes de Notre-Dame de Paris ce 1er janvier 2025, et c’est la foule déjà assise pour célébrer la messe de midi qui m’a d’abord saisie. Une foule curieuse, étonnée et admirative de la lumière qui éclabousse la cathédrale de toute part. Je me suis alors faite contemplative. La diversité des œuvres d’art m’a saisie, étonnée par l’audace de certains rapprochements. Et c’est au fond d’une chapelle que la tendresse du Christ Jésus m’a rejointe, homme au sourire paisible, entouré de deux enfants joueurs.
Marie-Odile

