35 auxiliatrices de moins de 70 ans se sont retrouvées le 14 juin pour réfléchir à leur engagement dans la communication et plus particulièrement dans les réseaux sociaux.
Toute une journée pour nous mettre ensemble au diapason de la communication : ce que nous faisons déjà et le pas de plus à faire ensemble.
Nous avons commencé par regarder ce que nous faisons déjà, pourquoi et comment nous avons bougé au cours de ces dernières années. Nous nous sommes redit que nous avons une Bonne Nouvelle à communiquer et un charisme à partager.
Mais à qui ? Et pour dire quoi ? Et par quels moyens ?…
2e étape : ensemble nous entendons les enjeux des réseaux sociaux, l’intérêt d’y être davantage présentes, mais pas n’importe comment, l’engagement que cela demande…
Après quelques exposés par des intervenants extérieurs, réflexions en groupes, temps personnels, échanges gratuits lors des pauses, dialogues en assemblée… il a fallu se poser la question :
Alors, on y va ou on n’y va pas ?
Comme au temps de Marie de la Providence lorsqu’elle a reçu un appel pour aller en Chine le 4 août 1867 :
Qui est prête à se lancer ?
Des mains se sont levées : « Je suis intéressée pour me former à la vidéo ! » ; « Je veux bien réfléchir à la manière de faire avec d’autres ! » ; « Je peux donner un coup de main de temps en temps ! » ; « Je suis disponible pour écrire une fois par mois », une autre « une fois par trimestre », une autre encore « de temps en temps »…
Affaire à suivre, donc…
J’avais déjà eu la chance de participer à cette réflexion dans le cadre de groupes de travail. Mais c’était essentiel selon moi d’aborder le sujet avec toutes les sœurs, afin que toutes soient partie prenante, que ce soit pour donner un coup de main ou simplement soutenir l’effort. Et j’ai été touchée, encore une fois, par le désir de chacune d’avancer avec le monde, avec discernement et non en se laissant emporter par une vague. « À semer largement, on récolte largement » (St Paul, 2e Lettre aux Corinthiens) : les réseaux sociaux me semblent être un bon moyen pour partager largement la Bonne Nouvelle. Car je retiens l’enjeu principal : communiquer le Christ ! Ça donne de l’élan, non ?!
Anne
